Much loved (Nabil Ayouch)
Une œuvre sur une réalité dure, mais dont l’évocation n’est jamais désespérée, grâce, notamment, à ses quatre interprètes, à la fois magnifiques, lumineuses, tout autant que courageuses, leur prestation n’ayant pas été sans conséquences sur leur propre vie, lorsque les premières images du film ont circulé au Maroc. L’histoire démontre bien l’hypocrisie de cette société, ou Saoudiens, comme Occidentaux, peuvent tout se permettre, avec un peu d’argent. La photographie de Much loved, signée Virginie Surdej, est une merveille…